Décisionnel : l’informatique trop souvent perçue comme un obstacle dans l’entreprise


La DSI se voit aux commandes

L’étude détaille les points de vue très divergents entre les responsables métiers et les responsables informatiques sur la question de l’implication de l’IT dans le processus analytique, et un écart de 14 % dans leurs réponses quant à savoir qui est maître des stratégies analytiques.

Les responsables informatiques sont également 10 % plus satisfaits de la collaboration autour du décisionnel que ne le sont les unités opérationnelles. Enfin, les responsables informatiques sont près de deux fois plus nombreux que les responsables métiers à penser qu’ils décident du financement de projets analytiques.


Diffuser les bonnes pratiques 

Selon IDC, les DSI doivent aider à la création d’équipes dédiées au décisionnel, aider à la diffusion des bonnes pratiques autour du traitement de la donnée, aider à calculer le ROI des projets décisionnels, apporter une expertise en consulting décisionnel.  Le DSI doit soigner les aspects d’intégration des données, de leur gestion, de leur qualité et de leur sécurité.

L’enquête a été réalisée durant la première partie de 2013, et menée par IDC à la demande de SAS. Elle s’appuie sur 578 responsables et décideurs de départements informatiques, fonctionnels et responsables des études et des analyses.

Les deux tiers des répondants à l’enquête se sont identifiés eux-mêmes comme faisant partie du service informatique, et le tiers restant comme appartenant aux entités métiers. L’étude a été menée dans 11 pays, aux Etats Unis, en Europe et en Asie Pacifique.  Il y avait à la fois des entreprises privées ou publiques, avec plus de 500 employés.

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