La startup Oppens, née du programme d’intrapreneuriat de la Société Générale et filiale à 100% de la banque, propose aux TPE et PME d’améliorer leur cybersécurité.
Evaluer d’abord les risques informatiques
Elle délivre pour cela un « coach sécurité » via une plateforme digitale. La startup aide les petites entreprises qui n’ont pas les compétences en interne à mieux comprendre les risques et à évaluer leur vulnérabilité face aux cyber-escroqueries, aux vols de données, aux rançonnages, aux sabotages de site d’e-commerce, etc.
Dans un premier temps, Oppens procède à l’évaulation de leur niveau en cybersécurité via un auto diagnostic en ligne gratuit sur 5 thématiques : mot de passe, protection des données, sensibilisation des collaborateurs, sécurisation des appareils et protection des sites web.
Puis, elle propose des recommandations gratuites sur les axes prioritaires identifiés lors du diagnostic. Enfin, elle propose des solutions à partir d’un catalogue de produits et de services principalement français et européens sélectionnés et testés par les équipes de la Société Générale, et distribués via « Oppens.fr ».
Les experts sécurité de Société Générale dans la boucle
Des solutions peuvent être construites sur-mesure avec des partenaires, ou exclusives c’est-à-dire habituellement disponibles uniquement pour les grandes entreprises. Oppens a rencontré 400 chefs d’entreprise durant 6 mois d’incubation afin de mettre en place cette plateforme. « Oppens s’appuie sur les experts cybersécurité du groupe » déclare Bruno Delas, COO des réseaux de Banque de détail France du groupe Société Générale .
La société Oppens a été co-fondée par Jérôme Pénichon, ancien du Crédit du Nord et de Société Générale. Durant près de 7 ans, il a travaillé au Crédit du Nord en charge de projets informatiques en monétique et en décisionnel. A la Société Générale, durant 5 ans, il a travaillé au système d’information monétique et piloté des projets de cash management et gestion de crise.
Juste avant de cofonder Oppens, il a travaillé chez Transactis France – filiale monétique et paiements commune entre La Banque Postale et la Société Générale – durant 1 an pour des projets Big Data, de lutte contre la fraude en temps réel. Il est diplômé ingénieur en informatique de l’Insa de Lyon en 2004.
Top lectures en ce moment
-
Trois questions auxquelles les retailers doivent répondre face à l’IA agentique
-
Doctolib lance un assistant vocal de gestion des appels des patients
-
Netflix achète les studios de cinéma et le catalogue de contenus de Warner Bros.
L'IA clé de nos besoins vitaux dans l'eau, l'électricité et le gaz
Marchés de l’eau : l’IA générative arrive dans les réponses aux appels d’offres des collectivités
Saur, spécialiste de la distribution d’eau potable, fait évoluer son processus de réponse aux appels d’offres des collectivités et des industriels en y injectant de l’IA géné…
Stockage de l’électricité : l’IA générative outil d’accélération clé chez Engie
Le stockage de l’électricité est un enjeu stratégique. Engie s’y attelle et mobilise pour cela l’IA générative de type RAG, c'est-à-dire basée sur le traçage des documents source. …
Nouvelle donne dans le gaz naturel : GRDF s’adapte en utilisant l’IA
GRDF, leader de la distribution du gaz naturel en France, affine sa stratégie d’IA. Il s’appuie sur des serveurs internes pour la confidentialité des données de ses clients. GRDF c…









Et vous, qu’en pensez-vous ?
Une idée, une réaction, une question ? Laissez-nous un mot ci-dessous.
Je réagis à cet article