On ne présente plus Nikos Aliagas actuellement aux manettes de la saison 3 de « The Voice » sur TF1. Personnalité de l’audiovisuel, c’est aussi un journaliste chevronné. Avec 517 000 abonnés sur Twitter, c’est un VIP qui fait le buzz. Il a accordé une interview exclusive à Olivier Cimelière, directeur d’Heuristik Communications et créateur du blog du communicant, sur sa passion des réseaux sociaux.

Question : vous êtes une personnalité reconnue du paysage audiovisuel français. Qu’est ce qui vous a donné envie d’être présent sur les médias sociaux, en particulier Twitter où vous diffusez et échangez des messages de manière prolifique ?
Nikos Aliagas : C’est d’abord la curiosité qui m’a amené à ouvrir un compte Twitter en août 2010. A l’époque, je venais de démarrer la présentation de la tranche horaire matinale sur NRJ. Je cherchais des idées pour renouveler le genre et interagir autrement avec les auditeurs. Au début, j’ai considéré cela comme un jeu mais très vite, l’évidence s’est imposée : Twitter est un outil fantastique pour disposer d’un retour en direct des gens, sans tabous, sans filtre.
Je me suis réellement pris au jeu, je me suis mis à suivre aussi bien des personnes connues que des fans et des twittos parlant de mes centres d’intérêt. J’ai progressivement élargi le champ de mes messages en partageant des photos, ma passion pour la Grèce, des aphorismes tout en conversant de temps à autre avec ceux qui me suivent.
C’est d’ailleurs l’intérêt majeur que je trouve à Twitter : cette possibilité de donner, de recevoir, d’établir une forme de proximité et de consolider des liens avec différentes personnes partout dans le monde, à tout moment.
Question : aujourd’hui, votre présence numérique s’est étendue. Vous avez ouvert une page sur FlickR et un fil Instagram. En revanche, vous ne disposez pas de page personnelle sur Facebook. Pourquoi ces choix et quels bénéfices en retirez-vous ?
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Tag parisien capturé le 16 janvier par Nikos Aliagas et diffusé sur les réseaux sociaux
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