Les réseaux sociaux représentent une opportunité pour les marques d’alcool et de spiritueux qui veulent promouvoir leurs produits et interagir avec leur public. Et quand il s’agit de bières, en matière d’influenceurs, il s’agit d’une affaire de femmes. C’est ce que montre l’étude menée par Traackr.
Côté influenceuses, on trouve ainsi Rachel Martino, une jeune femme qui vit à Brooklin, qui anime également son blog et qui évolue également dans l’univers de la mode. Elle représente 13 000 engagements pour la marque Stella Artois tandis que Anne-Laure Saux génère plus de 3 000 engagements pour Grimbergen.
L’étude analyse la présence des marques au travers des influenceurs et l’engagement suscité
Grimbergen arrive en tête des mentions (23,9%) parmi les bières de grande consommation. Elle est suivie de près par Guiness (23,6%). Malgré un résultat plus réduit par ses mentions, Stella Artois arrive en tête en termes de taux d’engagement (1,24%).
Des chiffres nettement plus élevés pour le Champagne
Comparativement les chiffres sont nettement plus élevés pour le Champagne. La marque Krug est celle qui a le plus d’influenceurs la mentionnant (6,28%), suivie de près par Dom Pérignon qui est également le leader en matière de taux d’engagement (5,14%). Taittinger possède le plus de mentions (24%), mais son taux d’engagement est le plus faible (1,63%).

Trois influenceurs présentent de très bons résultats en termes d’engagement, de mentions et de taux d’engagement pour les plus grandes marques de Champagne. Jacques Lacombe a généré, en 2018, un engagement total de 154 000, Pierre-Olivier Beaudoin, 32 300 et l’influenceuse lifestyle Garance Doré a généré 19 900 engagements pour le Champagne.
Pour ce rapport, l’étude a été menée du 1er janvier au 31 décembre 2018 par la société Traackr sur un panel de 1 200 influenceurs français sur Instagram, YouTube, Facebook, Twitter et d’autres réseaux sociaux. Le rapport étudie les marques selon les mentions d’influenceurs et le nombre d’engagements.
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé
La publicité pour l’alcool est encadrée par la loi Evin du 10 janvier 1991 et par la loi du 21 juillet 2009 qui modifie le Code de la santé publique en ajoutant le cas où la publicité est autorisée en ligne. Quel que soit le support, toute publicité pour une boisson alcoolisée doit « être assortie d’un message de caractère sanitaire précisant que l’abus d’alcool est dangereux pour la santé ».
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