JCDecaux montre la valeur de la publicité en aéroport avec une étude très travaillée


La publicité diffusée dans les aéroports donne une valeur supérieure aux marques en comparaison des autres canaux publicitaires. C’est ce que défend JCDecaux en s’appuyant sur une étude internationale menée par l’agence de recherche ResearchBods à la demande de JCDecaux Airport.

Une étude menée auprès de 6000 personnes dans 5 pays

L’étude a été réalisée auprès de 6 000 consommateurs sur cinq marchés publicitaires différents : la Chine, la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni et les États-Unis. La publicité en aéroport est l’environnement publicitaire qui est perçu comme le plus valorisant pour les marques par rapport à la publicité en ligne, les réseaux sociaux, la télévision et la presse.

La publicité en aéroport confère au produit un certain statut et une valeur accrue

Toujours d’après cette étude, les consommateurs considèrent la publicité en aéroport comme plus pertinente et plus haut de gamme que celle des autres environnements publicitaires. Elle confère au produit un certain statut et une valeur accrue malgré la pandémie. Sur la base d’un indice 100, un produit affiché en aéroport obtient un score de 111 en termes de valeur attribuée contre 101 pour la TV, 100 pour le Print, 95 pour le mobile et 94 pour un site web.

Et en termes de prestige, la publicité en aéroport atteint un score de 113, 99 pour la TV, 98 pour le Print, 99 pour le mobile et 99 pour les sites web, par rapport à la moyenne des autres environnements publicitaires étudiés. « D’après cette étude réalisée dans cinq pays majeurs dans le monde, l’aéroport affiche les plus hauts niveaux de prestige et de valeur attribuée par rapport aux autres grands canaux publicitaires » souligne Jérôme Lepage, directeur marketing & Business Development de JCDecaux, Division Transport.

Transformation du parc d’affichage et usage de la data et du digital

« L’aéroport conserve ainsi toute sa force et contribue à construire et renforcer l’image d’une marque » poursuit-il. JCDecaux rappelle qu’il investit dans la transformation de son parc d’affichage et d’écrans en aéroport. Il veut développer une expérience visuelle enrichie et contextualisée grâce aux nouvelles capacités digitales et à la data. « Cela fait de l’aéroport l’un des environnements les plus efficaces et les plus influents, permettant ainsi à nos clients annonceurs d’atteindre leurs objectifs marketing » conclut-il.

Deux marques fictives ont été utilisées, une marque de parfum de luxe et une entreprise technologique B to B

Pour mener cette étude en ligne, ResearchBods a utilisé deux marques fictives, une marque de parfum de luxe et une entreprise technologique B to B, pour mesurer les réactions des consommateurs à la vue d’un visuel créé pour chaque marque et proposé dans l’un des cinq environnements publicitaires, avec 1 200 participants sur chaque marché, répartis entre les différents supports publicitaires.

Le concepteur de l’étude souligne que pour une marque, il est rentable d’être perçue au sein d’un environnement premium. Dans l’étude réalisée en ligne, chaque participant a pu voir une photographie d’une publicité identique à celle affichée dans l’un des environnements publicitaires suivants : aéroport, publicité en ligne, réseaux sociaux, télévision et presse (magazine grand public et magazine d’actualité économique).

Mesure de l’environnement dans lequel la publicité est affichée

Le visuel a été adapté à chaque marché cible afin d’être pertinent. L’étude a utilisé différents moyens tels qu’un aéroport local, un site de journal en ligne populaire, une chaîne de médias sociaux notoire, un magazine économique mondialement connu ou encore un magazine de mode international. Les personnes sur l’image, montrées en train de regarder une publicité télévisée, ont également été localisées en fonction du pays. Mis à part l’adaptation à la langue locale, le visuel publicitaire et la copie étaient identiques, afin qu’il n’y ait qu’une seule et même variable mesurée : l’environnement dans lequel la publicité était affichée.

L’enquête a demandé ce que les sondés s’attendaient à payer pour cette marque, les invitant à choisir une fourchette de prix

En ce qui concerne une marque de parfum de luxe fictive, les participants ont pu voir le visuel d’une publicité pour une marque de parfum de luxe fictive, nommée « L’Amour », dans un seul environnement publicitaire, pertinent pour leur marché. L’enquête leur a demandé ce qu’ils s’attendaient à payer pour cette marque (dans leur devise locale), les invitant à choisir une fourchette de prix. Les résultats ont été indexés, afin de pouvoir comparer selon les marchés la valeur perçue, conférée par les différents environnements publicitaires de leur pays.

Pour l’entreprise technologique B to B fictive, les participants ont pu voir le visuel d’une publicité pour une entreprise technologique fictive, nommée « Connex ». La question suivante leur a été posée : « Sur une échelle de 1 à 10 (1 pour « pas du tout prestigieuse » et 10 pour « très prestigieuse »), à quel point considérez-vous cette marque haut de gamme ? Les résultats ont été indexés, afin de pouvoir comparer selon les marchés le prestige relatif de la marque, conféré par les différents environnements publicitaires de leur pays.

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